Ma vision du monde
J’ai toujours eu une manière très visuelle d’appréhender le monde.
Je prête plus attention à ce que je vois qu’à ce que j’entends.
Lorsque je veux appréhender une réalité, je me la représente sous forme d’images plutôt que de mots.
C’est ce qui explique que je sois devenue professeur d’Arts Plastiques et non de langues.
C’est aussi pourquoi, j’ai développé une pratique plastique et photographique et que je me considère aujourd’hui comme plasticienne et photographe.
Mais parallèlement à mon goût précoce pour les images, je suis aussi devenue très tôt une grande lectrice et je me suis donc aussi prise au jeu des mots.
Cette double passion m’a amenée très récemment à développer un style d’écriture littéraire très imagée que certains considèrent même comme quasi cinématographique.
C’est ce que j’ai pratiqué, sans même m’en rendre compte, dans mon premier roman : Une étoile ne meurt jamais.
Dans ce premier roman et dans le second roman que je suis en train d’écrire, j’ai pu aussi assouvir mon amour pour ce beau pays qui, avant d’être un pays est une émotion, l’Italie.
Cet amour a commencé par la rencontre de mon mari et de sa famille d’origine italienne et s’est approfondi par notre goût commun pour le cinéma de grands réalisateurs comme Ettore Scola : Macaroni, Une journée particulière ou Nous nous sommes tant aimés.
D’où la photographie des grands studios romains Cinecittà que je vous propose en illustration de cette publication.

© Jacqueline Capmeil Créations
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